Et pourquoi pas une généralisation de la circulation alternée ?

Publié à 13h47, le 17 mars 2014 , Modifié à 13h57, le 17 mars 2014

Et pourquoi pas une généralisation de la circulation alternée ?
Mise en place de la circulation alternée à Paris le 17 mars (Maxppp).
Image Olivier Duhamel

Olivier Duhamel

On découvre ce lundi les avantages de la circulation alternée.

#Moins de pollution

S’il est trop tôt pour dresser un bilan précis, plusieurs éléments indiquent que la pollution a été réduite par l’interdiction de circuler pour une petite moitié des véhicules. Tous les reportages montrent un "ressenti" de pollution amoindri. En 1997, la baisse réelle avait été évaluée à 20%.

#Moins d’embouteillages

Un boulevard périphérique fluide à Paris, du jamais vu un lundi. 100 km de bouchons cumulés sur les autoroutes menant à la capitale au lieu de 200 km. Des rues plus fluides dans Paris. Autant d’avantages donc.

#Plus de covoiturages

Intelligemment, pour une fois, les voitures à immatriculation se terminant par un chiffre pair ont néanmoins été autorisées à circuler si elles transportaient au moins trois personnes. Le covoiturage présente plusieurs avantages : il réduit la circulation automobile, donc la pollution et les bouchons ; il crée de la convivialité entre salariés d’une entreprise ou entre voisins.
Autant de raisons pour passer d’une circulation exceptionnellement alternée à une alternance permanente. Mais qui osera le demander, qui oserait le décider ?

Du rab sur le Lab

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