Le lapsus de Dominique de Villepin à l’Assemblée nationale sur le CPE

Publié à 15h41, le 10 novembre 2012 , Modifié à 17h36, le 10 novembre 2012

Le lapsus de Dominique de Villepin à l’Assemblée nationale sur le CPE

VIDEO DE LA SEMAINE – Chaque semaine, le Perchoir exhume des archives de l’INA une vidéo oubliée ou méconnue. Aujourd’hui, Dominique de Villepin qui commet un lapsus sous la pression de l’hémicycle en pleine crise du CPE.

Dans ce sujet du 20h de France 2 en mars 2006, la langue de Dominique de Villepin fourche. Au lieu de "décision" du Conseil Constitutionnel, le Premier ministre en difficulté de Jacques Chirac évoque une "démission" imminente, avant de rester impassible sous les moqueries des députés.

  1. Villepin sous la pression de la Sarkozy

    Mars 2006. Après plus de deux semaines de crise et de débats sur le projet de loi instaurant le contrat première embauche (CPE), le Premier ministre Dominique de Villepin, sous la pression cumulée de la rue, de l’opposition et plus implicitement de Nicolas Sarkozy, commet un lapsus.

    En séance à l’Assemblée nationale, la langue du Premier ministre le trahit :

    Attendons.

    Le conseil constitutionnel, qui prendra sa démission demain …

    Et de se reprendre, impassible, sous les chahuts de l’hémicycle et de l’opposition socialiste et communiste :

    Qui prendra sa décision demain.

    Ce reportage du JT de 20 heures de France 2 apporte également les réactions de plusieurs députés dont Gaëtan Gorce, Georges Tron ou Eric Woerth.

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