Les petits détails du communiqué de Jean-Marie Le Pen, sujet le plus lu de la semaine

Publié à 17h05, le 22 août 2015 , Modifié à 17h10, le 22 août 2015

Les petits détails du communiqué de Jean-Marie Le Pen, sujet le plus lu de la semaine
© Montage Le Lab via AFP

#BEST OF HEBDO - C'est samedi, c'est donc #TopHebdo, soit le classement des articles les plus lus de la semaine sur Le Lab. Et cette semaine, ce sont les trois petits détails qui vous avaient peut-être échappé dans un communiqué de Jean-Marie Le Pen qui dominent notre classement.

Mais ce n'est pas tout.

#1 - Au cas où ça vous aurait échappé

Convoqué devant le bureau exécutif du FN en vue d'une sanction (ce sera finalement une exclusion du parti), Jean-Marie Le Pen avait deux-trois choses à dire à la direction frontiste. Il l'a fait par un communiqué, lundi.

Mais l'avez vous bien regardé ? Voici les trois détails qui vous avaient (peut-être) échappé.

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#2 - Les antisèches de Rebs

Mercredi 19 août, jour particulier pour François Rebsamen. Réélu maire de Dijon, le ministre du Travail s'apprêtait à donner sa démission à François Hollande. Le matin même, il donnait une interview à Europe 1. Un peu distrait sans doute, "Rebs" a oublié en studio les notes qu'il avait préparées pour cet entretien. Un journaliste de L'Opinion, qui intervenait sur la même antenne un peu plus tard, les a publiées sur Twitter.

Qu'est-ce qu'un ministre qui s'apprête à quitter le gouvernement prévoit de dire à la radio nationale ? Comment s'y prend-il pour caser ses éléments de langage, y compris quand les questions n'ont rien à voir avec ces derniers ? On a comparé entre sa fiche et ses propos en direct.

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#3 - Salut les tarés

Un tweet sur l'électorat FN qui "est à la fois le moins diplômé et le moins cultivé", une empoignade avec des internautes virulents, et une fermeture de compte Twitter. C'est ce qui est arrivé cette semaine à Nicolas Bays.

Au Lab, le député PS explique que les "propos odieux", les "insultes" et les "menaces de mort sur le ton de l'humour" l'ont convaincu de quitter le réseau social (au moins pour un temps). "J'ai de quoi m'occuper sans avoir à supporter ces tarés", dit-il encore.

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#4 - Estrosi, l'ami des islamistes ?

Il a beau passer son temps à dénoncer "la présence d'une cinquième colonne en France", Christian Estrosi n'en est pas moins aux petits soins des islamistes. C'est en tout cas ce qu'affirme Marion Maréchal–Le Pen, ce mardi 18 août.

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#5 - 2017, c'est plié

"Voilà le futur Président de la République !" C'est le cri du coeur poussé par Geneviève de Fontenay après avoir entendu Philippe Saurel en interview sur BFMTV. Le maire DVG de Montpellier n'est pourtant pas (encore ?) candidat à 2017 ; pour l'instant, il espère conquérir la région Midi-Pyrénées - Languedoc-Roussilon.

Qu'importe, la dame au chapeau le soutient mordicus, emballée par la "lucidité" de celui qui a été exclu du PS en 2014.

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