Pour Royal, la violence du coup était trop forte

Publié à 07h37, le 14 juin 2012 , Modifié à 07h37, le 14 juin 2012

Pour Royal, la violence du coup était trop forte
Ségolène Royal à la Rochelle mardi 12 juin 2012 (Reuters)

TWEETWEILER - "Face à la violence du coup, je n'ai pas voulu réagir à chaud." Dans Libération, jeudi 14 juin, Ségolène Royal affirme que le tweet de soutien de Valérie Trierweiler à son rival pour les législatives a été d'une grande violence.

  1. "Une trahison intolérable"

    Sur liberation.fr

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    Le maintien d'un candidat dissident à gauche est une trahison intolérable.

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    Femme politique à abattre ? Dans une interview publiée par Libération jeudi 14 juin, Ségolène Royal a admis avoir reçu un coup violent avec la publication du soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, son rival pour les législatives.

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    Face à la violence du coup, je n'ai pas voulu réagir à chaud, car je mène un combat politique difficile et je me dois de tenir bon.

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    Dans le quotidien, la présidente de la région Poitou-Charentes rappelle la première Dame de France à l'ordre :

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    En tant que femme politique, je demande à être respectée tout comme doit être respecté le soutien politique que m'apporte le président de la République en tant qu'unique candidate de la majorité présidentielle.

    "

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