Quand Nicolas Domenach invente la "gauche chorizo"

Publié à 12h45, le 02 juillet 2012 , Modifié à 12h45, le 02 juillet 2012

Quand Nicolas Domenach invente la "gauche chorizo"
(Twitter)

POLITIQUE CULINAIRE - Une finale de l'Euro, de l'euphorie, et Nicolas Domenach, éditorialiste dans Marianne, commente, sur Twitter : "Je sens que Hidalgo, Valls, Morelle et toute la gauche chorizo n'ont pas fini de nous casser les castagnettes". Vous n’avez rien compris ? On vous explique : le point commun des socialistes cités dans ce message est … leur origine espagnole.

  1. "Ils n'ont pas fini de nous casser les castagnettes"

    Sur twitter.com

    Dimanche 1er juillet, l'Espagne remporte face à l'Italie l'Euro de football. Troisième grand titre consécutif pour l'équipe ibérique qui réalise un triplé Euro-Coupe du monde-Euro inédit.

    Dans la foulée, Nicolas Domenach, éditorialiste pour Marianne et jamais avare de bons mots sur Twitter lance son commentaire sur le réseau social : 

    "

    Je sens que Hidalgo, Valls, Morelle et toute la gauche chorizo n ont pas fini de nous casser les castagnettes. Ils sont plus forts et alors!

    "

    Pour Nicolas Domenach, la "gauche chorizo", ce sont donc les socialistes issus de l'immigration espagnole. Manuel Valls, né à Barcelone, Anne Hidalgo, en Andalousie, ou encore Aquilino Morelle, né d'une famille d'immigrés espagnols à Paris.

    Aucune réaction pour l’heure à cette manière inédite de classer les politiques selon leurs origines, mais le tweet n'a pas manqué de faire réagir des utilisateurs de Twitter : 

    @nicodomenach : Quid de la "droite couscous?", de la gauche "manioc" et de "l'extrême droite cassoulet"?

    — Victor Milchberg (@vmilchberg) July 1, 2012

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