Armes chimiques : Valérie Trierweiler s'active en ligne sur la situation en Syrie

Publié à 13h55, le 22 août 2013 , Modifié à 16h38, le 22 août 2013

Armes chimiques : Valérie Trierweiler s'active en ligne sur la situation en Syrie
Capture d'écran de deux des trois tweets de Valérie Trierweiler sur la Syrie.

"Pour une fois, juste pour une fois, dire non tous ensemble à ce massacre", tweete ce jeudi 22 août Valérie Trierweiler alors que Damas est accusé par les rebelles syriens d'avoir perpétré une attaque chimique  à grande échelle contre sa population civile.

La compagne du chef de l'État est "comme tout le monde très choquée par ce qu'il se passe" en Syrie, indique son entourage au Lab, et souhaite "mobiliser l'opinion autant qu'il est possible". Notamment via Twitter.

Les 245.000 abonnés de la Premère dame ont ainsi vu s'afficher trois messages, ce jeudi matin, ne laissant aucun doute possible sur le sens qu'il convient de leur attribuer, au lendemain de la demande de François Hollande formulée en conseil des ministres : que l'ONU envoie le plus vite possible ses inspecteurs sur le site du massacre.

Tout d'abord la une du Daily Mirror, avec la photographie de neuf enfants morts et ce titre, en anglais, "maintenant ils gazent des enfants" :

Pour une fois, juste pour une fois, dire non tous ensemble à ce massacre. #Syriepic.twitter.com/qwi1ACUnQf

— Valerie Trierweiler (@valtrier) August 22, 2013

Puis un retweet, comme en juillet 2012 , d'un appel à la mobilisation de Médecins du Monde :

#SYRIE Plus de 100 000 morts. Rester silencieux serait devenir complice d'un massacre à huis clos http://t.co/4sWg6EKeOR

— Médecins du Monde (@MdM_France) August 22, 2013

Et enfin un lien, sans aucun commentaire, vers la une du journal Le Monde daté du vendredi 23 août, avec une autre photo d'enfants décédés : 

pic.twitter.com/t75RzQeClS

— Valerie Trierweiler (@valtrier) August 22, 2013

Avant ces trois tweets, Valérie Trierweiler a reçu à l'Elysée le 1er mars un médecin de l'association SOS enfants Syrie et a rencontré en juin des responsables d'ONG présentes dans les camps de réfugiés syriens ainsi que ceux de la "Chaîne de l'espoir " qui organise les soins en France d'enfants malades venant du Mali et de Syrie.

Du rab sur le Lab

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