Après Arnaud Montebourg et Saint Augustin, Aurélie Filippetti cite l'écrivain mexicain Carlos Fuentes pour illustrer son départ du gouvernement

Publié à 09h07, le 26 août 2014 , Modifié à 09h09, le 26 août 2014

Après Arnaud Montebourg et Saint Augustin, Aurélie Filippetti cite l'écrivain mexicain Carlos Fuentes pour illustrer son départ du gouvernement
Aurélie Filippetti © Capture d'écran BFMTV

NAME DROPPING - Après Arnaud Montebourg sur TF1 et Benoît Hamon sur France 2, c’est au tour d’Aurélie Filippetti, ce mardi 26 août sur BFMTV, de donner sa première interview de future ex-ministre.

Trait tirés, visage fermé, une forme de "solennité dans l’expression" pour reprendre ses mots, celle qui va très vite quitter le ministère de la Culture est revenue sur sa "décision très lourde" de ne pas vouloir faire partie du prochain gouvernement.

Elle l’explique ainsi :

J'ai été loyale pendant deux ans. […] Il y avait un désaccord sur ce qu'est ou non la loyauté vis-à-vis du gouvernement. Moi je considérais que cette loyauté m’amenait justement à demander à ce que certaines questions se posent entre nous. […] On ne peut pas accepter d'avaler des couleuvres et continuer comme ça.

Si Arnaud Montebourg a cité lundi 25 août depuis Bercy Saint Augustin – enfin plutôt sa fiche Wikipédia – Aurélie Filippetti choisit elle l’écrivain mexicain Carlos Fuentes :

Je suis habité par une foi immense et par un doute immense.

Une manière pour elle de revenir sur certains échecs de la politique de François Hollande et notamment la fermeture des hauts fourneaux de l’usine Arcelor Mittal à Florange malgré les promesses de campagne du candidat socialiste. 

Du rab sur le Lab

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