"Il est préférable de ne pas débattre avec les femmes. [...] Pour une femme, la faiblesse n'est pas tellement un défaut". Et la première à avoir réagit en France, c'est Valérie Trierweiler. L'ancienne Première dame s'est émue dans un tweet de cette phrase prononcée par Vladimir Poutine, le président russe, le 4 juin dans une interview donnée à Europe 1 et TF1.
Valérie Trierweiler, qui a quitté l'Elysée depuis plusieurs mois, a ironisé sur :
Valérie Trierweiler a par ailleurs retweeté son fils juste après la retransmission du passage :
Valérie Trierweiler n'est pas la seule à réagir. Safia Otokore, ancienne collaboratrice de Pierre Moscovici et vice-présidente de la région Bourgogne, s'est également émue du sexisme de la phrase du président russe :
Jean-Luc Romero, conseiller de Paris et conseiller régional en Ile-de-France, y est également allé de son tweet d'indignation :