Bruno Le Maire dénonce la mise en place d'un "pouvoir clanique et sectaire"

Publié à 12h31, le 15 mai 2012 , Modifié à 16h16, le 15 mai 2012

Bruno Le Maire dénonce la mise en place d'un "pouvoir clanique et sectaire"
Bruno Le Maire, sur le talk Orange-Le Figaro. (Capture d'écran)

Une cérémonie manquant "d'élégance et de générosité" : invité du talk Orange-Le Figaro, mardi 15 mai, Bruno Le Maire, ancien ministre de l'Agriculture, a critiqué la cérémonie de passation de pouvoir, qui a eu lieu un peu plus tôt dans la matinée, ainsi que la liste des invités.

  1. Bruno Le Maire : "Mise en place d’un pouvoir clanique et sectaire"

    Sur actu.orange.fr

    C'est une cérémonie qui manquait d’élégance et de générosité.

    A droite, les critiques fusent déjà : un peu après midi, ce mardi 15 mai, une heure à peine après la cérémonie de passation de pouvoir entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, Bruno Le Maire a lancé le bal des critiques sur le déroulé de l'événénement.

    L'ancien ministre de l'Agriculture était l'invité du talk Orange-Le Figaro :

    Trouvez-vous que son discours a été rassembleur ?

    Non.

    [...] François Hollande n’a invité que des ministres socialistes.

    [C'est la] Mise en place d’un pouvoir clanique et sectaire : le Parti socialiste avec le Parti socialiste.

    [...] Ce n’est pas rassembler que d'inviter que les anciens ministres socialistes. Ou sont les ministres de droite ?

    J’ai été frappé par des symboles. Quand Mitterrand est parti, Chirac l’a raccompagné jusqu'à sa voiture.

    Il a également fustigé le discours du président socialiste, qui manquait, selon lui, de références à Nicolas Sarkozy :

    Il n’a pas mentionné Nicolas Sarkozy pendant son discours.

    [...] Ca aurait été élégant de dire un mot sur les cinq ans de Sarkozy.

    François Hollande a bien évoqué le nom de Nicolas Sarkozy, rapidement, à la fin de son discours. Il lui a adressé ses voeux pour l'avenir : 

    Nicolas Sarkozy, à qui j'adresse des voeux pour la nouvelle vie qui s'ouvre devant lui.

Du rab sur le Lab

PlusPlus