Eva Joly a "envie" de lancer sa propre association

Publié à 12h50, le 12 juillet 2012 , Modifié à 16h29, le 12 juillet 2012

Eva Joly a "envie" de lancer sa propre association
Eva Joly, le 13 avril 2012. (Reuters)

Bienvenue au club - "Elle veut garder cette proximité avec les gens, ne pas les oublier" : Julien Bayou, ancien porte-parole d’Eva Joly, dont il est resté l’un des très proches, explique au Lab que l’ancienne candidate à la présidentielle réfléchit actuellement au lancement d’une structure propre.

Le Nouvel Observateur, qui évoquait l’envie de Joly de créer son "propre Désirs d’avenir", raconte également que l’ancienne candidate à la présidentielle a été très touchée des marques d’affections que lui a témoignées Daniel Cohn-Bendit au Parlement européen.

  1. "Elle veut garder cette proximité avec les gens, ne pas les oublier"

    Sur Le Nouvel Observateur

    C'est en réflexion mais elle en a vraiment envie.

    Elle veut garder cette proximité avec les gens, ne pas les oublier.

    "Oui", confirme au Lab Julien Bayou, son ancien porte-parole de campagne, Eva Joly, l’ancienne candidate EELV à la présidentielle, souhaite bien lancer à l'automne sa propre association. 

    C'est ce que  glissait Le Nouvel Observateur, dans un portrait de l’eurodéputée, dans son édition du 12 juillet.

      

    Soulignant qu’Eva Joly n’avait, à ce jour, "pas d’écurie", l’hebdomadaire détaillait :

    Sur les conseils de Stéphane Pocrain, l’un de ceux qu’elle écoute le plus, elle compte lancer à l’automne sa propre boutique.

    Un club, son Désirs d’avenir à elle, pour garder le contact avec ces milliers d’anonymes prêts à faire des dons pour sa campagne ou à signer des pétitions pour la voir nommée au ministère de la Justice.

    Julien Bayou assure que des détails autour de cette opération seront coomuniqués "lors des journées d'été d'EELV", qui se dérouleront du 22 au 24 août, à Poitiers.

    Dans la gestion de son "après" campagne, la députée européenne, qui s’est envolée pour une mission de deux semaines en Afghanistan (elle partira quinze jours tous les trois mois), a, selon Le Nouvel Observateur, particulièrement apprécié un petit geste venu de Daniel Cohn-Bendit :

     Quand Dany vient m'embrasser en pleinière, ça me fait plaisir.

    Il y a les vagues et les mouvements longs. 

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