François Hollande estime qu'il a amélioré son espagnol lors de son voyage d’État au Mexique

Publié à 17h41, le 11 avril 2014 , Modifié à 17h53, le 11 avril 2014

François Hollande estime qu'il a amélioré son espagnol lors de son voyage d’État au Mexique
François Hollande au Mexique (Reuters)

Ce devait être le voyage de l’apaisement, après l’affaire Florence Cassez. Pour François Hollande, la visite d’État au Mexique aura également été l’occasion de parfaire son espagnol.

Le chef de l’État s’en est même réjoui à l'occasion de la cérémonie de remise des clés de la Ville de Mexico, dans des propos rapportés par la journaliste de i>Télé Camile Langlade :

Depuis deux jours je ne cesse d'améliorer mon espagnol.

Le président regretterait même les petites plaisanteries concernant ses errances dans la langue de Cervantès. Car certains l'ont moqué après sa quasi-citation du général de Gaulle qui, en 1964, avait proposé que le Mexique et la France marchent "la mano en la mano". François Hollande a cette fois parlé de "mano dans la mano". Il a surtout innové :

Notre relation est devenue plus chaleureuse encore, et je vous propose d'être le cœur avec le cœur, el corazón con el corazón.

"Plus chaleureuse", même si le président français a évoqué le cas de Maude Versini, jeudi 10 avril, du cette mère dont les trois enfants sont retenus par leur père au Mexique depuis janvier 2012. "La France n’abandonne personne", a déclaré François Hollande dans une allusion claire à cette affaire.

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