Publié à 16h44, le 24 octobre 2015 , Modifié à 16h44, le 24 octobre 2015

L’échange musclé entre Taubira et Rachline au Sénat, article le plus lu de la semaine

#BEST-OF HEBDO – C’est samedi, il ne fait pas très beau sur la France, mais réjouissez-vous, pour patienter en attendant le flop hebdo dominical, vous allez pouvoir déguster notre Top hebdo des cinq articles les plus lus de la semaine sur le Lab. Avec tout en haut du classement, l’échange musclé au Sénat entre la garde des Sceaux Christiane Taubira et le sénateur FN David Rachline.

#1 – Et votre page Facebook, on en parle ?

Il paraîtrait qu'au Sénat, les séances de questions au gouvernement sont plus calmes, sereines et faites de dialogue qu'à l'Assemblée nationale. Oui enfin, cela dépend tout de même des orateurs. Une question de David Rachline à Christiane Taubira, par exemple, a toutes les chances de faire péter le niveau de décibels dans l'assistance. Et ça n'a pas loupé, mardi 20 octobre.

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#2 – Je ne m'en tamponne pas

Il ne s'en tamponne pas. A lire L'Opinion du 21 octobre, Christian Eckert, le secrétaire d’État au Budget, a été particulièrement "vexé", et même "blessé", d'être devenu la risée des réseaux sociaux et la cible des féministes après son rejet d'un amendement PS sur la taxe dite "tampon" le 14 octobre à l'Assemblée nationale. Il assure pourtant qu'il "connaît le sujet" puisqu'il a "une femme et trois filles".

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#3 – Un #DPDA pourri en 19 étapes

Ce jeudi 22 octobre au soir, Marine Le Pen devait être l'invitée principale de l'émission Des Paroles et des Actes, sur France 2. Devait, car, finalement, la présidente du FN a décidé de rester à la maison. Elle entend ainsi faire part de sa grosse colère vis-à-vis de France 2 et de David Pujadas. Pour vous aider à comprendre pourquoi, on vous a fait un résumé en image.

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#4 – C'est la faute à Macron

Il aura fallu quatre heures, à peine, pour que la responsabilité du gouvernement, même indirecte, soit évoquée par un politique après l'accident de car survenu en Gironde, vendredi 23 octobre, et qui a coûté la vie à au moins 43 personnes. Et c’est Noël Mamère qui a ouvert les hostilités, s’attaquant à la libéralisation des autocars mais réfutant rendre "la loi Macron responsable".

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#5 – J’allais pas dire "Casse toi pov’ con"

Invité de RTL lundi, François Hollande a inévitablement été interrogé sur les syndicalistes CGT ayant refusé de lui serrer la main à Saint-Nazaire. Après avori tenté d’évacuer le sujet, le chef de l’Etat a alors tout simplement fait référence au célèbre "Casse toi pov’ con" de Nicolas Sarkozy. Pour expliquer que lui n’avait pas réagi de la sorte et n'avait insulté personne. Subtil. Ou pas.

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