Ces phrases assassines de Bachelay et Fabius que vous n’entendrez (probablement) pas

Publié à 19h15, le 26 septembre 2012 , Modifié à 19h25, le 26 septembre 2012

Ces phrases assassines de Bachelay et Fabius que vous n’entendrez (probablement) pas
Laurent Fabius et Guillaume Bachelay, en 2012. (Maxppp)

"Guimauve le conquérant", "l'opposition en caoutchouc", "Hollande président, on rêve". Le Figaro relate, dans un article publié le 25 septembre, plusieurs petites phrases assassines concoctées par le duo Fabius-Bachelay, son dauphin, à destination de François Hollande du temps ou leur rivalité s’affichait.

Des phrases imaginées mais que l’ancien député de Seine-Maritime et son succésseur n’évoquent plus entre eux, depuis que Laurent Fabius a rejoint le quai d’Orsay, assure Le Figaro

Le quotidien explique dans son article que depuis l’arrivée de Laurent Fabius au Quai d’Orsay, François Hollande et le ministre des Affaires étrangères travaillent de concert, chacun y trouvant son intérêt. "Il y a peu de temps encore, ils se parlaient quasiment jamais. Ils agissent désormais ensemble. Nécessité gouvernementale fait loi. […] Pourtant, leur rivalité était aussi ancienne que leur carrière politique", écrit Le Figaro.

Guillaume Bachelay - futur numéro 2 du PS - est considéré comme un expert es formules assassines. Plume de Martine Aubry, on lui attribue l’invention de la "gauche molle" dégainée par l’ancienne première secrétaire du parti au lendemain du duel télévisé de la primaire socialiste , comme le rappelle europe1.fr.

Autre formule choc à son actif : en 2007, il avait également comparé les forums participatifs de Ségolène Royal à des "réunions tupperware".

Du rab sur le Lab

PlusPlus