Paris 2014 : pourquoi Nathalie Kosciusko-Morizet fait jeu égal avec François Fillon

Publié à 11h40, le 20 janvier 2013 , Modifié à 12h21, le 20 janvier 2013

Paris 2014 : pourquoi Nathalie Kosciusko-Morizet fait jeu égal avec François Fillon
Nathalie Kosciusko-Morizet, le 14 novembre, à Paris (photo MaxPPP)

  

L’enquête d’intentions de vote pour les élections municipales à Paris, réalisée par l'IFOP les 17 et 18 janvier, et publiée par Le JDD ce dimanche 20 janvier, n’est que très relativement significative sur ce scrutin à venir.

Elle montre certes que malgré l’impopularité de la gauche au pouvoir, les socialistes restent largement favoris. Mais nous sommes à plus d’un an des élections, et les candidatures ne sont pas encore fixées. Tout peut donc changer.

En revanche, ce sondage apporte un résultat qui en surprendra plus d’un : Nathalie Kosciusko-Morizet ferait aussi bien que François Fillon (28%) face à Anne Hidalgo.

Cette donnée est très significative pour la nouvelle période qui s’ouvre à l’UMP.

L’invraisemblable crise qui a suivi l’élection de son président laisse Jean-François Copé en lambeaux et François Fillon meurtri.

Bien au-delà de l’enjeu parisien, un espace inédit s’ouvre pour la nouvelle génération.

 

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