TWEETWEILER - "Face à la violence du coup, je n'ai pas voulu réagir à chaud." Dans Libération, jeudi 14 juin, Ségolène Royal affirme que le tweet de soutien de Valérie Trierweiler à son rival pour les législatives a été d'une grande violence.
"Une trahison intolérable"
Sur liberation.fr
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Le maintien d'un candidat dissident à gauche est une trahison intolérable.
"Femme politique à abattre ? Dans une interview publiée par Libération jeudi 14 juin, Ségolène Royal a admis avoir reçu un coup violent avec la publication du soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, son rival pour les législatives.
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Face à la violence du coup, je n'ai pas voulu réagir à chaud, car je mène un combat politique difficile et je me dois de tenir bon.
"Dans le quotidien, la présidente de la région Poitou-Charentes rappelle la première Dame de France à l'ordre :
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En tant que femme politique, je demande à être respectée tout comme doit être respecté le soutien politique que m'apporte le président de la République en tant qu'unique candidate de la majorité présidentielle.
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