Quand Valérie Pécresse s’imagine en Angela Merkel française

Publié à 11h42, le 13 septembre 2013 , Modifié à 11h42, le 13 septembre 2013

Quand Valérie Pécresse s’imagine en Angela Merkel française
Valérie Pécresse sur Europe 1. (Capture d'écran)

COMPARAISON N'EST PAS RAISON - 

Bonjour Valérie Merkel.

D’emblée, ce vendredi 13 septembre, Jean-Pierre Elkabbach donne le ton face à la députée UMP Valérie Pécresse.  

A l’origine de ce sobriquet ? Une comparaison entre l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande, dans le Point. Un parallèle que justifie, et accepte sans broncher, "avec modestie et humilité", Valérie Pécresse, sur Europe 1 :

Le journaliste disait qu'il manquait un grain de folie dans mes propositions, je lui ai demandé s'il pensait que Merkel avait un grain de folie. Il est parti sur Valérie Merkel, j'accepte la comparaison avec modestie et humilité.

 

Pour l’élue UMP, ce sont ses propositions écrites dans son livre "Voulez-vous vraiment sortir de la crise ?" qui expliquent cette comparaison, alors qu’elle renchérit en expliquant qu’on "a besoin d’une Merkel en France"

Un certain nombre de réformes que j'expose dans le livre sont nécessaires pour le pays mais assez dures, et rappellent le modèle allemand : dépenser moins, travailler un peu plus, améliorer la compétitivité.

Du rab sur le Lab

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