Ségolène Royal : et maintenant, l'Association des régions ?

Publié à 15h01, le 18 juin 2012 , Modifié à 15h12, le 18 juin 2012

Ségolène Royal : et maintenant, l'Association des régions ?
Segolene Royal, dimanche 17 juin (photo Reuters)

UN POSTE POUR SEGOLENE ROYAL - Depuis sa défaite, dimanche 17 juin, à La Rochelle, face à Olivier Falorni, Ségolène Royal est donnée à plusieurs postes. Le Monde évoque dans ses colonnes "l'unanimité" qui se dégageait, dans les couloirs de Solférino, dimanche, pendant la soirée électorale, "autour de la présidence de l'ARF, l'Association des régions de France"

  1. "Un arrangement pourrait être trouvé..."

    Sur lemonde.fr

    Après "Ségolène Royal à Solférino", voilà l'hypothèse : "Ségolène Royal à l'ARF". 

    Le PS pourrait offrir un nouveau débouché à l'ancienne candidate à la présidentielle de 2007, qui a annoncé vouloir continuer à "peser", dimanche 17 juin, après sa défaite à La Rochelle.

    Alors que l'hypothèse "Solférino" ne semble pas susciter l'adhésion, Le Monde évoque, dans son édition datée du 19 juin, l'éventualité d'une nomination à la tête de l'Association des régions de France. 

    La journaliste du Monde évoque une "sorte d'unanimité" autour de cette hypothèse. 

    Problème ? Celle-ci est aujourd'hui dirigée par Alain Rousset, le président de la région Aquitaine.

    Un jeu de chaises musicales pourrait être organisé, raconte Le Monde :

    "

    "Mais, disait-on dans les couloirs du parti, un arrangement pourrait être trouvé.

    Alain Rousset pourrait devenir ministre en charge du grand emprunt, poste qu'occupait auparavant l'UMP Patrick Devedjian, ce qui permettrait à Mme Royal de devenir une sorte de super-présidente de régions."

    "

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