La compagne de François Hollande est de nouveau l'objet d'une polémique. L'Express révèle qu'une policière du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) aurait été virée suite à une maladresse envers la Première dame.
"C'est Valérie Trierweiler qui n'a pas voulu la garder"
Sur lexpress.fr
L'Express dévoile une nouvelle affaire autour de Valérie Trierweiler. Une commandante, membre du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) aurait été évincée suite à une décision de la compagne de François Hollande. Une maladresse serait à l'origine de cette éviction, selon le site de l'hebdomadaire.
Pendant la compagne, le Service de protection des hautes personnalités (SPHP) assure la protection du candidat. Le 6 mai au soir, ce service se tranforme en groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR). Entre les deux équipes, une seule personne n'a pas été reconduite, informe L'Express :
Son éviction fait partie des premières décisions prises par Sophie Hatt, la nouvelle patronne du GSPR, peu après sa nomination à la fin de mai. "C'est Valérie Trierweiler qui n'a pas voulu la garder", assure une source policière
A l'origine de cette décision, une relation difficile entre les deux femmes. Notamment à cause d'un événement le 29 avril, dans les coulisses du palais omnisports de Bercy, après un meeting :
Les affaires du candidat et le sac de Madame, qui se trouvaient dans les loges, ont disparu. La commissaire en prend pour son grade. Plus de peur que de mal: les effets personnels seront retrouvés dans une autre salle. Quelqu'un les a déplacés par mégarde.