Valérie Trierweiler : "Je ne ferai rien qui puisse gêner François"

Publié à 15h18, le 11 mai 2012 , Modifié à 15h46, le 11 mai 2012

Valérie Trierweiler : "Je ne ferai rien qui puisse gêner François"
François Hollande et Valérie Trierweiler à Tulle, le 5 mai 2012. (Maxppp)

On savait déjà que, comme elle le confiait au Times, Valérie Trierweiler refusait de devenir une "potiche". Développement concret de cette volonté, dans une interview à Elle, la compagne de François Hollande fait savoir qu'elle espère pouvoir continuer à être journaliste en réalisant des interviews de personnalités étrangères. "Une chose est sûre, je ne ferai rien qui puisse gêner François." assure-t-elle.

  1. "Je pourrais par exemple, réaliser des entretiens de personnalités étrangères."

    Sur elle.fr

    Comment être la compagne du président de la République et continuer à être journaliste ? Valérie Trierweiler espère avoir trouvé la réponse à cette équation compliquée. Dans une interview à l'hebdomadaire Elle mise en ligne vendredi 11 mai, la première dame déclare : 

    J'ai besoin de gagner ma vie, j'ai trois enfants à charge. Mon indépendance financière est, comme pour des millions de Françaises, une réalité concrète et une priorité.

    Je pense pouvoir continuer à faire du journalisme si je ne traite pas de l’actualité française, quelle qu’elle soit. Je pourrais, par exemple, mais ce n’est qu’à l’état de réflexion encore, réaliser des entretiens de personnalités étrangères, ce qui me permettrait de poser une distance saine. C’est une piste.

    Une chose est sûre, je ne ferai rien qui puisse gêner François et le gouvernement, ni ne défendrai aucune cause contraire à la diplomatie française. C’est la limite stricte que je me suis fixée.

    Deux autres informations dans cet entretien accordé par Valérie Trierweiler à Elle :

    • elle réfléchit à la création d'une fondation "pour promouvoir l’égalité des chances, l’accès de tous les enfants issus d'un milieu modeste à la réussite scolaire et sociale"
    •  Malgré la volonté du couple présidentiel de ne pas vivre à l'Elysée et de rester dans leur appartement parisien du XVème arrondissement, un déménagement semble bel et bien ineluctable pour des raisons de sécurité.

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