Ancienne Première dame, Valérie Trierweiler avoue qu’elle ne "referait pas les choses de la même façon"

Publié à 08h02, le 06 mai 2014 , Modifié à 08h02, le 06 mai 2014

Ancienne Première dame, Valérie Trierweiler avoue qu’elle ne "referait pas les choses de la même façon"
© Maxppp.

"Je lui souhaite bonne chance pour les trois années qui restent." Deux ans jour pour jour après l’élection de François Hollande, qui va célébrer ces noces de cuir sur BFM TV ce 6 mai, Valérie Trierweiler était l’invitée vérité d’Europe 1.

Une interview dans laquelle l’ancienne Première dame confie ses regrets sur sa manière d’appréhender cette "fonction" :

S’il y avait des choses à refaire, je ne les referais pas de la même façon.

Pour sa défense, la journaliste et ancienne compagne de François Hollande explique n’avoir "pas eu énormément de temps". "Les choses se seraient arranger au fil du temps", veut-elle croire.

J’aurais fait de l’humanitaire beaucoup plus tôt. J’ai commencé très doucement, discrètement, pour apprendre.

Aujourd’hui, assure-t-elle, sa vie privée lui "appartient" et elle ne souhaite plus faire de journalisme politique.

Quant à cette date anniversaire du 6 mai 2012, Valérie Trierweiler retient "la foule à Tulle". "Cette foule tranquille, joyeuse. C’est elle qui a amené François Hollande au pouvoir", ajoute celle qui reconnait que le chef de l’Etat s’est "endurci" avec l’exercice du pouvoir.

Concernant son impopularité ? "Ce n’est pas ça qui compte aujourd’hui", réplique-t-elle, citant sa dernière chronique pour Paris-Match. Sur Jules Ferry, "l’homme politique le plus détesté".

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