Dès l'attaque terroriste perpétrée à Charlie Hebdo le 7 janvier, Marine Le Pen a demandé au ministère de l'Intérieur de bénéficier d'une protection policière particulière. "Compte tenu de ses attaques récurrentes contre les dérives du fondamentalisme islamique, [elle] fait évidemment partie des personnalités politiques dites à haut risque", avait expliqué au Parisien l'un de ses collaborateurs.
Mais la présidente du FN n'est pas la seule à faire l'objet d'une protection renforcée. Son vice-président Florian Philippot bénéficie lui aussi d'une sécurité renforcée. C'est ce qu'annonce L'Express mercredi 21 janvier. Voici ce qu'écrit l'hebdomadaire :
"Depuis le 7 janvier, le domicile parisien du vice-président du FN, Florian Philippot, est également sous la surveillance des forces de l'ordre.
"
Depuis le 8 janvier, le siège du parti, à Nanterre, a aussi vu sa protection policière renforcée.