Municipales : pour le député PS Pascal Cherki, "s'il n'y avait pas le facteur gouvernemental, on serait réélu haut la main"

Publié à 13h11, le 22 février 2014 , Modifié à 13h11, le 22 février 2014

Municipales : pour le député PS Pascal Cherki, "s'il n'y avait pas le facteur gouvernemental, on serait réélu haut la main"
Pascal Cherki (Maxppp)

SI SEULEMENT NOUS N'ÉTIONS PAS AU POUVOIR - Dans la dernière ligne droite avant les élections municipales des 23 et 30 mars, le député socialiste Pascal Cherki assure que les maires PS seraient réélus "haut la main"... si François Hollande et Jean-Marc Ayrault ne battaient pas des records d'impopularité.

Interrogé par le Figaro au détour d'un article sur les députés de la majorité qui égratignent le Premier ministre, le député-maire du XIVème arrondissement de Paris estime que :

S’il n’y avait pas le facteur gouvernemental, on serait réélu haut la main

Outre les critiques de Pascal Cherki, coutumier du fait, d'autres députés socialistes anonymes estiment que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault "est aux soins palliatifs au sein du groupe", "dans la lessiveuse" et que "tout le monde a tiré un trait sur Jean-Marc Ayrault au groupe socia­liste, et lui-même a l’air très fatigué. On attend la fumée blanche". 

Enfin le député PS de la Nièvre Christian Paul, proche de Martine Aubry, assure que "le groupe attend une nouvelle étape du quinquennat après la période électorale du printemps".

Du rab sur le Lab

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