Nathalie Kosciusko-Morizet fait le lien entre la recherche du tireur à Paris et le manque de vidéosurveillance

Publié à 10h04, le 20 novembre 2013 , Modifié à 10h09, le 20 novembre 2013

Nathalie Kosciusko-Morizet fait le lien entre la recherche du tireur à Paris et le manque de vidéosurveillance
Nathalie Kosciusko-Morizet sur Europe 1. (Capture d'écran)

L’homme qui a tiré sur un assistant photographe à Libération ainsi que sur l’immeuble de la Société générale à la Défense est toujours recherché. Une situation qui doit "faire réfléchir" sur la question de la vidéosurveillance, selon la candidate UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet.

Invitée d’Europe 1, mercredi 20 novembre, la députée de l’Essonne, prétendante à la succession de Bertrand Delanoë, a ainsi déclaré :

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J'espère que ce qui se passe va enfin faire réfléchir tous ceux qui, depuis des années, sont tellement réticents vis-à-vis de la vidéosurveillance.

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Et l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy d’en profiter pour s’en prendre à la municipalité socialiste sortante :

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A Paris, pendant des années, la municipalité n'en a pas voulu et finalement, elle a accepté le principe mais en gros, elle a laissé faire l'Etat, elle n'a pas participé. Il y a eu un plan de 230 millions d'euros, seulement 5 millions d'euros payés par la ville.

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Soulignant que Paris compte "une caméra pour 2000 habitants", NKM établit la comparaison avec… d’autres villes dirigées par des maires PS. Volontairement.

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C'est moitié moins que dans des villes par ailleurs socialistes comme Strasbourg ou bientôt Lyon.

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Et de poursuivre, elle qui "confesse et confirme" aimer le métro  parisien :

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Quand on sort du métro, il y a des zones d'ombre, non couvertes.

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Du rab sur le Lab

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