#TOPHEBDO - Quelle semaine ! Démission du gouvernement, remaniement, et les bisbilles à l'UMP qui continuent. Voici les sujets les plus lus de la semaine sur le Lab.
> Lundi 25 août: #IceBucketHollande
C'est la cata pour l'image du président. Alors que Manuel Valls a présenté dans la matinée la démission de son gouvernement, le chef de l'Etat tient un discours mouillé sur l'île de Sein. Lunettes embuées, manteau trempé, gouttes ruisselantes....
Voyez plutôt :
> Mardi 26 août: Hollande trempé pour faire comme les résistants
C'est l'explication trouvée par l'Elysée pour justifier les images de la veille. Selon la journaliste d'Europe 1 Caroline Roux, l'Elysée explique que c'est pour faire tout comme les résistants de l'époque, et les autres participants, que François Hollande ne voulait pas de parapluie :
"Il voulait être traité comme les participants à la cérémonie et cela démontre qu’il est résistant et dur au mal, qu’il peut affronter la tempête.
"
> Mercredi 27 août: Valls ne connaît pas le nom de sa secrétaire d'Etat
Petit problème de fiches, monsieur Valls ? Alors que le Premier ministre a débauché l'adjointe d'Anne Hidalgo Myriam El Khomri, il écorche son nom sur le plateau de France 2. Une erreur faite alors que le Premier ministre insiste sur la diversité des origines de ses minitres :
> Jeudi 28 août: Sarkozy ne croit pas à une candidature Juppé
Alain Juppé aura beau dire qu'il sera candidat "jusqu'au bout", ça ne convaincra pas Nicolas Sarkozy. Selon le Canard enchaîné, l'ancien président de la République ne croit pas du tout qu'il affrontera son ancien ministre aux primaires :
"Vous verrez, Juppé n'aura pas le cran d'aller jusqu'au bout. Juppé candidat en 2017 ? On en reparlera.
"
> Vendredi 29 août: Montebourg estime que Hollande n'aurait jamais été élu sans lui
Melon. Ne demandez pas à Arnaud Montebourg si ses menaces de démission lors de l'épisode Florange était "un coup politique", ça l'énerve. C'est ce que fait une journaliste d'Envoyé Spécial, et le ministre de l'Economie d'alors se met en colère. Arnaud Montebourg défend son CV sur le mode "Hollande n'est personne sans moi" :
"Je vous confirme madame que j'existais bien avant ce ministère. J'ai été candidat à la primaire, j'ai fait 17%. François Hollande sans moi il n'était pas là où il était. Je lui ai dit, en effet. Je préfère que vous reveniez à de justes proportions dans vos analyses. […]
Tout le monde sait ce qu'il s'est passé. Il y a même des livres qui ont été écrits. Vous devriez les lire, ça vous éviterait de poser des questions désagréables.
"
C'est le sujet le plus lu de la semaine, et c'est [A lire ici]