Après Benoist Apparu, Bernard Accoyer annonce son soutien à François Fillon

Publié à 11h43, le 28 octobre 2012 , Modifié à 14h36, le 28 octobre 2012

Après Benoist Apparu, Bernard Accoyer annonce son soutien à François Fillon
Benoist Apparu, en 2012 et Bernard Accoyer, en 2010. (Reuters)

ET ILS CHOISIRENT FILLON - Bernard Accoyer, député de Haute-Savoie et ancien président de l'Assemblée nationale, soutient François Fillon dans la course à la présidence de l'UMP. 

Un choix qu'il explique dans les colonnes du Journal du dimanche, ce dimanche 28 octobre 2012 :

Ce nouveau président devra d'abord pouvoir rassembler la droite et le centre.

[...] l'UMP doit avoir à sa tête une personnalité qui a été en responsabilité au plus haut niveau, et qui doit être susceptible de l'être à nouveau si les circonstances l'exigeaient.

Voilà pourquoi mon choix se porte sur François Fillon.

Au quotidien, il explique avoir écarté l'hypothèse du non-choix :

[...] estimant qu'un responsable politique doit contribuer à l'analyse des propositions des candidats. J'ai construit mon choix en échangeant avec François Fillon et Jean-François Copé sur la nature et l'ampleur des réformes qui me semblent indispensables pour la France

A moins de trois semaines du congrès de l'UMP, qui a lieu le 18 novembre et où les militants éliront le nouveau président du parti, les ténors qui n'avaient pas officialisé leur soutien sortent du bois. 

Ainsi Benoist Apparu, ancien ministre du Logement, a expliqué qu'il soutenait également l'ancien Premier ministre, dans les colonnes du Monde, samedi 27 octobre.

Et parmi les non-alignés, reste notamment Alain Juppé, dont Benoist Apparu est un proche ;Le maire de Bordeaux avait appellé, avec Bernard Accoyer, à l'organisation d'un bureau politique extraordinaire afin d'évoquer l'organisation de la campagne pour la tête du parti, début septembre

Vendredi 26 octobre, Xavier Bertrand a annoncé qu'il soutenait François Fillon. Brice Hortefeux, Henri Guaino mais aussi Dominique de Villepin ont annoncé, eux, quelques jours auparavant, qu'ils soutenaient Jean-François Copé.

Du rab sur le Lab

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