Bertinotti, sur Royal : "Nous avons été ulcérés par ce qu’elle a du subir"

Publié à 14h06, le 06 octobre 2012 , Modifié à 19h16, le 06 octobre 2012

Bertinotti, sur Royal : "Nous avons été ulcérés par ce qu’elle a du subir"
(Maxppp)

"Nous avons été ulcéréspar ce qu’elle a du subir". C'est ce qu'affirme dans Le Figaro la ministre déléguée à la Famille au sujet de Ségolène Royal, dans un article publié par le Figaro

Les fidèles de l'ancienne candidate à l'élection présidentielle restent proches de leur mentor. La ministre déléguée estime "qu'il y a un sentiment d'injustice à réparer". Sans donner davantage de précisions sur l'injustice en question. Il peut s'agir de la défaite à La Rochelle, du tweet de Valérie Trierweiler, de sa place actuelle au Parti socialiste, etc. 

"Mais nous n'avons pas le blues. Nous sommes fiers de porter ce qu'elle incarne", précise la ministre. Des idées qui peuvent être bien défendues au sein de l'éxecutif, avec quatre membres du gouvernement parmi les fidèles de la présidente de la région Poitou-Charente. Guillaume Garot, Najat Vallaud-Belkacem, Delphine Batho et Dominique Bertinotti sont des proches de Ségolène Royal. 

En revanche, leur représentation au sein des instances du Parti socialiste est en question. Selon le quotidien, c'est la ministre de la Famille "qui a été chargée de mener les négociations pour assurer aux 'ségolénistes' une représentation dans les futures instances". Au conseil national, 20 places leur auraient été garanties, assure Dominique Bertinotti. Un autre négociateur parle plutôt de 10 à 14 sièges, dans Le Figaro. Une "portion congrue", les proches de Benoît Hamon devraient être le double.

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