Cécilia Attias ex-Sarkozy raconte que certaines de ses amies ont divorcé pour prendre sa place

Publié à 06h57, le 03 octobre 2013 , Modifié à 06h57, le 03 octobre 2013

Cécilia Attias ex-Sarkozy raconte que certaines de ses amies ont divorcé pour prendre sa place
Décembre 2012 - Reuters.

CONFIDENCE POUR CONFIDENCE - Cette fois-ci, il s'agit des vraies mémoires de Cécilia Attias, ex-Sarkozy. Le Point publie ce 3 octobre les bonnes feuilles de cet ouvrage intitulé "Une envie de vérité", qui paraitra le 7 octobre aux éditions Flammarion.

Celle qui fut première dame durant quatre mois avant de se séparer de Nicolas Sarkozy raconte notamment l'intérêt qu'a pu susciter son époux devenu président de la République. Selon elle, certaines de ses amies ont même divorcé pour prendre sa place :

Les gens feraient n'importe quoi pour de l'argent ou du pouvoir.

Dans une interview pour Elle publiée vendredi et relatée par l'AFP ce 3 octobre, Cécilia Attias poursuit sur le ton de la confidence, notamment lorsqu'elle explique pourquoi elle n'est pas allée voter le jour du second tour de l'élection de mai 2007 :

J'ai voté à un des deux tours. Mais vous ne vous rendez pas compte de ce que c'était que de voter. Quand vous êtes la femme d'un futur chef d'Etat, les photographes vous guettent comme un animal et, moi, comme c'est arrivé à tant de gens, j'étais en train de me demander si je voulais encore de ce couple.

J'allais trop mal pour supporter ces regards. J'aurais dû, mais je n'ai pas pu.

Cécilia Attias revient également sur la soirée de l'élection passée au Fouquet's, lieu qui a poursuivi Nicolas Sarkozy avec son étiquette "bling bling" durant tout son mandat. Le choix de ce restaurant a longtemps été reproché à son épouse qui s'en défend dans Elle :

En réalité, Nicolas et moi avons choisi ce lieu ensemble parce que les Champs-Elysées sont le coeur de Paris et Paris est le coeur de la France.

Le 1er octobre, le site Boulevard Voltaire a publié une chronique sur l'ouvrage de l'ex-première dame, pensant se baser sur des bonnes feuilles publiées par Libération ... sans voir que l'auteur était Stéphane Guillon et que son texte était humoristique. Une histoire à retrouver ici.

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