CURATION - Au lendemain de son soutien très remarqué au dissident socialiste Olivier Falorni sur Twitter, Valérie Trierweiler a posté un nouveau message sur le réseau social ... avant d'affirmer, quelques minutes plus tard, à l'AFP, que son compte avait été "apparemment piraté".
Le contenu du message en question, posté depuis une application de twitter pour téléphone : un simple lien, sans commentaire, vers une brève du site Rue89 [celle-ci], qui relayait un article du Monde [celui-ci], détaillant son intervention auprès de la rédaction du quotidien pour faire disparaître des photos prises lors du "making-of" du shooting de la photo officielle de François Hollande [celles-là].
Soit un contenu qui ne lui est pas particulièrement favorable, puisqu'il relate une tentative d'intervention auprès d'une rédaction pour faire modifier un contenu éditorial.
Les internautes s'interrogeaient évidemment sur le sens à donner à ce message, énigmatique.
Par ailleurs, la journaliste a ajouté qu'elle n'avait "jamais demandé le retrait de photos" publiées par LeMonde.fr.
Plus tard dans la journée, Rue89 rapporte que Le Monde admet avoir communiqué une information fausse. "Une erreur de communication interne au journal est à l’origine de l’erreur", écrit le site. En revanche, le journal maintient avoir été appelé par l’agence photo afin de prévenir la rédaction que Valérie Trierweiler souhaitait le retrait des deux images.
Mercredi soir, à 21 heures, l'article du Monde est toujours en ligne racontant que le journal a reçu un appel de la compagne de François Hollande. Pendant ce temps, Valérie Trierweiler, elle, a supprimé le tweet menant vers l'article en question.
[mis à jour à 19h02, ajout de la mention du "piratage" dénoncé par Valérie Trierweiler]
[mis à jour à 22h30, ajout de la suppression du tweet de Valérie Trierweiler]