Xavier Bertrand est gentil. Il pense aux chômeurs. Et à Nicolas Sarkozy aussi. Selon les accusations de François Chérèque et les informations de Challenges, des plans de licenciements imminents chez la Fnac, Areva, PSA et Renault par exemple auraient été décalés après le printemps. Cela aurait fait trop tâche avant les élections
Les accusation de Chérèque
Sur publicsenat.fr
François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, était l'invité de "Preuves par 3 " mardi soir sur Public Sénat. Il est le premier syndicaliste à dénoncer ouvertement une volonté politique de report des licenciements pour raisons électoralistes.
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Je rencontre régulièrement des chefs d'entreprise et des DRH ils me disent, certains, que, toutes les semaines, le ministère du travail leur téléphone pour leur demander leur intention vis à vis de l'emploi et leur dire que s'ils avaient des intentions de licencier qu'ils les reportent à plus tard.
Il y en a plusieurs qui me l'ont dit. Je vous le dis avec une grande franchise, c'est une réalité.
"La réponse énervée de Xavier Bertrand
Sur europe1.fr
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Et puis quoi encore !
"Ferme dénégation de Xavier Bertrand sur Europe 1 mercredi matin.
Plans sociaux, gamelle électorale
Sur challenges.fr
Pas envie de finir comme Lejaby. Les plans de licenciement en cours sont décalés au deuxième semestre pour éviter le défilé de candidats dans les usines et ateliers touchés.
EXTRAIT de l'article de Challenges
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Alexandre Bompard (Fnac) ou encore Luc Oursel (Areva) ont reçu des instructions pour repousser de quelques mois leurs projets de licenciement. La Fnac, qui a fait part de son intention de supprimer 500 postes (dont 300 en France) en janvier dernier, a été priée de ne pas aller au-delà pour le moment. Idem pour le groupe Areva qui projetait de se délester de 3.000 emplois dans l’Hexagone.
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