"Il donne tout. C'est un passionné. Il a su gérer la crise grecque. Il veut sauver la France !" : lundi 2 avril, Carla Bruni-Sarkozy participait à une réunion entre femmes BCBG, qui n'avait qu'un seul objectif : faire voter pour son candidat de mari. Voici quelques-uns des arguments déployés par la première dame, rappportées par Le Monde.
"Toutes les présentes sont des femmes parfois oisives, souvent fortunées"
Sur lemonde.fr
"Dans le milieu bobo et artiste que [je] fréquente, il est mal vu de dire qu'on vote Sarkozy".
Ou bien encore :
"[Nicolas Sarkozy] donne tout. C'est un passionné. Il a su gérer la crise grecque. Il veut sauver la France !"
Lundi 2 avril, Carla Bruni-Sarkozy participait à une réunion de mobilisation autour de la candidature de son mari à l'élection présidentielle, révèle un article de Guy Dutheil, publié ce mardi 10 avril dans Le Monde.
La scénographie était précisément arrêté, raconte le journaliste du Monde, qui la compare aux fameuses "réunions Tupperware" - qui voient quelques mères de familles bon chic bon genres s'extasier, puis acheter, les derniers nés des ustensiles de cuisine fabriqués par la marque spécialistes des boîtes en plastique :
"Dans un grand appartement bourgeois du XVIe arrondissement de Paris [...], autour de Carla, une trentaine de femmes invitées par mail ou par SMS.
Toutes les présentes sont des femmes parfois oisives, souvent fortunées.
Des épouses d'hommes d'affaires ou alors venues du mileu de la mode, du show biz, de la télévision. Une styliste voisine avec une journaliste ou la femme d'un producteur de cinéma.
D'après Le Monde, qui affirme encore que, parmi les participantes, figurait "Véronique" (de Villèle)", "l'ex-partenaire de "Davina" dans [...] "Gym Tonic"", cette réunion n'avait qu'un seul but :
"Faire voter pour Sarkozy".
Dernière précision : le journaliste du Monde assure que les participantes, qui ont laissé leurs "adresses mails pour leur envoyer des argumentaires en retour" n'ont, à ce jour, "rien reçu".