Dominique Strauss-Kahn persona non grata en Corse

Publié à 12h32, le 30 août 2012 , Modifié à 13h08, le 30 août 2012

Dominique Strauss-Kahn persona non grata en Corse
Dominique Strauss-Kahn. (Maxppp)

INDESIRABLE - Corse Matin raconte, ce jeudi 30 août, les vacances mouvementées de Dominique Strauss-Kahn en Corse-du-Sud, 

Et relate l'altercation qui a opposé un journaliste de LCI originaire de l'île, avec des proches de DSK, alors qu'ils traversaient un terrain privé qui avait appartenu à son grand-père : "Cela m'a retourné. J'ai dit aux personnes qui accompagnaient Dominique Strauss-Kahn que j'étais révolté qu'un violeur récidiviste vienne sur cette propriété."

  1. "J'étais révolté qu'un violeur récidiviste vienne sur cette propriété"

    Sur corsematin.com

    Et revoilà DSK. L’ancien président du FMI fait un come back médiatique par le biais d'un article de Corse Matin qui raconte, ce jeudi 30 août, ses vacances mouvementées sur l'île de Beauté. 

    Sans préciser la date, le quotidien raconte que Dominique Strauss-Kahn et ses proches décident, un jour, de rejoindre des amis installés au bord d'une rivière. Et doivent, pour cela, traverser un terrain privé.

    Xavier de Giacomoni, reporter à LCI en vacances sur place et originaire de l'île, s'en aperçoit. Et ne l'entend pas de cette oreille - les terrains ayant appartenu autrefois à son grand-père, souligne Corse Matin - et s'emporte contre le groupe.

    Interrogé par le quotidien, il raconte : 

    Cela m'a retourné.

    J'ai dit aux personnes qui accompagnaient Dominique Strauss-Kahn que j'étais révolté qu'un violeur récidiviste vienne sur cette propriété.

    Invité sur place par François Pupponi, ami et successeur de DSK à la mairie de Sarcelles, le journaliste raconte comment ce dernier a alors pris sa défense :  

    François Pupponi que je connais depuis toujours est intervenu.

    Il m'a dit que les propriétaires avaient donné l'autorisation de passage. Et que pour sa part il restait fidèle en amitié.

    Xavier de Giacomoni reconnait, outre un "un coup de colère", que le terrain ne lui appartient pas et que la justice n'a l'a pas condamné, mais souligne que : 

    Je me bats pour des valeurs qui n'ont pas de frontière et les abus contre les plus faibles me révoltent

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