Dans un communiqué de presse diffusé jeudi 21 mars, le très proche de Nicolas Sarkozy, Christian Estrosi, dresse un parallèle entre la mise en examen de l'ancien président de la République et l'ouverture d'une enquête judiciaire au sujet du compte en Suisse qu'aurait détenu l'ancien ministre du Budget de François Hollande, Jérôme Cahuzac.
"Chacun remarquera que cette décision intervient 48H après la mise en cause d'un ministre socialiste sans doute pour faire compensation", écrit le maire de Nice dans un communiqué, notamment diffusé sur sa page Facebook, évoquant encore des méthodes "aux relents politiques évidents".
(Voir le communiqué en intégralité )