ON REFAIT LE MATCH - Olivier Falorni, député de Charente-Maritime et tombeur de Ségolène Royal aux élections législatives de juin 2012, est revenu sur le tweet de soutien de Valérie Trierweiler , posté sur le réseau social le 12 juin 2012.
Sur le plateau de "On n'est pas couché ", dans la nuit de samedi 8 à dimanche 9 septembre, il a souligné qu'il s'agissait d'un message "personnel et amical."
(Capture d'écran du tweet de @valtrier)
Il a est revenu sur l'hypothèse de la jalousie, invoquée pour expliquer ce tweet, notamment par l'opposition dont, entre autres, Bernard Debré , le 13 juin, et expliqué : "Ce message, moi je vais vous le dire et je ne l'ai jamais dit. On a beaucoup parlé de jalousie. Valérie Trierweiler est une femme, elle a sa part d’humanité donc elle a aussi ses réflexes humains."
Et insiste immédiatement après : "[...] Valérie Trierweiler, que je connais depuis longtemps, m’a encouragé, elle m’a soutenu avant même que l’idée du parachutage de Ségolène Royal à La Rochelle ne soit entrée dans les esprits du PS.
"Elle ne s’est pas mise à me soutenir brutalement parceque Ségolène Royal était là. On se connait depuis longtemps."
Et d'affirmer :"Elle m’a encouragé parce qu'elle connait ma fidélité à François Hollande."
Sur le rôle de la Première dame, il a affirmé que : "Le temps de tante Yvonne, il est terminé", allusion à la femme du Général de Gaulle, très discrète, qui considérait que les femmes ne devaient pas se mêler de politique .
"Qu’est ce qu’on veut : que la première dame soit une potiche, une pote de fleur ? il faut peut avoir une conception peut-être un peu différente du rôle de la première dame."