Pour DSK, les journalistes sont tous des pourris

Publié à 18h39, le 21 février 2012 , Modifié à 18h55, le 21 février 2012

Pour DSK, les journalistes sont tous des pourris
François Pupponi, maire de Sarcelles et DSK, son premier adjoint, en janvier 2001. (Maxppp)

Le Monde publie mardi le texte d'une conversation téléphonique entre Dominique Strauss-Kahn et François Pupponi. Une conversation téléphonique nocturne, dans la nuit du 4 octobre 2011, entre le maire de Sarcelles, qui ne sait pas qu'il est sur écoutes, et l'ancien directeur du FMI. Document.

  1. "Y'a plus aucun secret"

    Sur lemonde.fr

    Rentrée 2011, la mairie de Sarcelles et les domiciles de son maire, François Pupponi sont perquisitionnés dans le cadre de l'affaire du cercle de jeux Wagram. Le 4 octobre au soir, le maire dans la tourmente, qui ignore qu'il est sur écoutes, appelle l'homme à qui il a succédé à la mairie de Sarcelles et la circonscription du Val d'Oise : Dominique Strauss-Kahn

    Extrait de leur conversation mise en ligne mardi 21 février, au soir sur le site du Monde

    "Y'a plus aucun secret, c'est terrible... ", soupire "Dominique".

    - François Pupponi : "Tu sens que derrière c'est c'est, ça fuite de partout... Mais y'a plus aucun respect, c'est un pays qui part en vrille complètement... "

    -Dominique : "Absolument, [inaudible] déliquescence complète putain. Je suis placé pour le savoir".

    -François Pupponi: "Putain t'as raison (…) Et quant aux journalistes (…), c'est.. "

    -Dominique : "C'est vraiment des pourris tous".

    -François Pupponi : "C'est, c'est... Ca part en vrille, là je pense, là".

Du rab sur le Lab

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