Rachida, Fadela, Rama : mais où sont passées les symboles ?

Publié à 10h31, le 16 décembre 2011 , Modifié à 15h17, le 16 décembre 2011

Rachida, Fadela, Rama : mais où sont passées les symboles ?
Rachida Dati, Fadela Amara et Rama Yade. (Reuters)

Femmes, jeunes, ambitieuses et représentantes, disait-on en 2007 de la "diversité", les trois jeunes femmes ont été balayées, remarque notre blogueur Guy Birenbaum.

  1. Liquidées !

    Vous souvenez-vous de 2007 ? L’ouverture, la "génération Sarkozy"…

    Et de ces trois jeunes femmes ambitieuses, issues, comme on disait alors, en un euphémisme contestable, de la "diversité".

    Rachida Dati, garde des Sceaux, bientôt rejointe par Rama Yade et Fadela Amara, chacune à la tête d'un secrétariat d'État à fort potentiel médiatique.

    Combien de litres d’encre et de salives, combien de kilos de papier, glacé ou pas, ont été dépensés pour vanter les mérites de ces trouvailles sarkozystes qu’on nous promettait pas comme les autres ?

    Repenser à ces dizaines (centaines ?) de portraits flatteurs et contempler, un peu plus de quatre ans plus tard, ce qui reste de ces icônes, de ces symboles…

    Rachida disgraciée.

    Fadela disparue et oubliée.

    Rama liquidée.

    Triple A !

    Au-delà des parcours personnels, la somme nulle que donne la triste addition Rachida plus Fadela plus Rama dit tout des péchés originels du sarkozysme.

    Il faudra aussi se souvenir à l’heure des bilans de ce triple A là…

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