Décidément, on parle beaucoup d'amour chez Pascale Clark. Mardi 17 avril, Nicolas Sarkozy a défendu la cause du président de la République, un homme comme les autres qui a lui aussi "besoin d'amour".
"Connaissez-vous quelqu'un qui n'a pas besoin d'amour ?"
Sur Franceinter.fr
J'aime pas l'expression affect, je préfère l'expression sentiment. Je me souviens Pascale Clark, lorsque l'on ne vous voyait pas, on entendait juste votre voix, on entendait plus vos sentiments.
Vous savez, le président de la République est un homme qui a le droit au bonheur, au malheur, qui souffre, et qui vit.
Pascale Clark a interrogé Nicolas Sarkozy, mardi 17 avril sur France Inter, à propos de son impopularité et l'affect que lui cause la campagne. Envolée lyrique du président-candidat qui défend son droit au bonheur.
Après Bayrou et son "parlez-moi d'amour", l'amour est "un sujet infini" pour Nicolas Sarkozy :
Connaissez-vous quelqu'un qui n'a pas besoin d'amour ? Un président de la République, c'est un homme comme les autres [...]
Il y a eu des Présidents, au prétexte qu'ils étaient élus, qui étaient comme momifiés [...]
Je me définis par la mélodie de ma vie.
La défense de Nicolas Sarkozy sur le désamour des Français à son égard est rodée. François Mitterrand et Charles de Gaulle à l'appui :
On a dit que François Mitterrand a été l'homme le plus haï de France à l'époque de [l'attentat de] l'observatoire.
Un homme de la génération de Charles de Gaulle a été conspué.