Une de Closer sur Hollande et Gayet : les tweets moqueurs de la sénatrice UMP Joëlle Garriaud-Maylam

Publié à 14h26, le 11 janvier 2014 , Modifié à 14h26, le 11 janvier 2014

Une de Closer sur Hollande et Gayet : les tweets moqueurs de la sénatrice UMP Joëlle Garriaud-Maylam
Captures d'écran de tweets de Joëlle Garriaud-Maylam.

Alors que la classe politique politique est globalement gênée et silencieuse concernant les photos du chef de l'État et de l'actrice Julie Gayet en une de Closer , Joëlle Garriaud-Maylam, sénatrice UMP des Français de l'étranger multiplie les tweets et retweets moqueurs.

La vice-présidente du groupe UMP du Sénat a pianoté sur son iPhone plusieurs messages à destination de ses 2.000 abonnés Twitter.

"#ViePrivée, d'accord (Quid du mensonge?)", s'interroge Joëlle Garriaud vendredi 10 janvier avant de tweeter samedi matin la une du Financial Times publiant une photo de la maîtresse supposée de François Hollande : 

La secrétaire de la Commission Affaires étrangères et Défense du Sénat retweete ensuite le journaliste d'Europe 1 Michel Grossiord qui écrit  que "si les compagnes voire les épouses des Présidents étaient sans bureau ni collaborateurs à l'Elysée ("l'aile Madame!"), ce serait plus simple". La sénatrice lui répond publiquement 

"

Cette situation est anachronique, voire cocasse. Nous ne sommes plus en monarchie. En France on élit un homme, pas son "épouse"!

Je n'ai pas vérifié (je devrais..) ms j'imagine mal "Monsieur Merkel" ou Mme Cameron avoir un tel staff. #ExceptionFrançaise?

"

La sénatrice restée sarkozyste  ne s'arrête pas là. Elle retweete ensuite le message d'un internaute se demandant si cette liaison supposée "sera autant commentée que le yacht de Bolloré" et un autre  qui écrit  : "#Hollande va retrouver une des ses maîtresses sur un scooter étranger. Que fait @montebourg?".

Enfin, toujours sur Twitter, celle qui avait reproché à François Hollande de ne pas souhaiter joyeux Noël aux français  reprend à son compte l'interrogation d'un journaliste de RTL qui complète la une du Point consacrée au chef de l'État "Et s'il se réveillait" de la question "Oui mais chez qui ?"

Du rab sur le Lab

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