ON REFAIT LE TWEET – C’est à un journaliste anglais, dans le Sunday Times , que Valérie Trierweiler a accepté de se livrer sur son tweet de soutien à Olivier Falorni, et contre Ségolène Royal, l’ancienne compagne de François Hollande.
Et la Première dame d’avouer qu’elle a eu peur "d’être lynchée" si elle sortait dans la rue :
"Je suis restée enfermée à la maison pendant huit jours. Je ne suis pas sortie. Je pensais que j'allais être lynchée dans la rue.
"
Et d’ajouter :
"J'aurais presque pu ne jamais revenir (à l'Elysée, ndlr).
"
Elle assure avoir finalement "tourné la page" et être revenue "petit à petit".
En opération aveux, Valérie Trierweiler a également concédé que devenir Premier Dame "a été très effrayant au début". Et la compagne du chef de l’Etat d’affirmer ensuite "ne jamais aller" dans le bureau du président.