Il adresse au syndicat "sa solidarité totale face à ces tentatives d'intimidation". Vincent Peillon, ministre de l'Education national, a, dans un communiqué envoyé le 23 novembre, adressé son soutien au Snuipp, dont les locaux de Bordeaux, Orléans et Paris ont été dégradés.
Vincent Peillon n'hésite pas ensuite à dénoncer le "groupuscule" du Printemps français, qui aurait revendiqué ces dégradations. En effet, des affiches hostiles à la "théorie du genre" ont été collées sur les vitrines de ces locaux. Des souris de laboratoire ont également été déposées dans les bureaux du syndicat.
Vincent Peillon se veut pleinement solidaire du syndicat enseignant :
A travers lui, c'est toute l'éducation nationale et la mobilisation du ministère et de ses personnels contre les discriminations sexistes ou liées à l'orientation sexuelle qui sont visés par ces agressions.