Le spectacle des questions au gouvernement du 20 mai

Publié à 14h55, le 20 mai 2014 , Modifié à 16h07, le 20 mai 2014

Le spectacle des questions au gouvernement du 20 mai
Séance de questions au gouvernement © MaxPPP

QAG - Mardi 20 mai et une nouvelle séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. Le Lab vous propose, comme chaque semaine, ses morceaux choisis.

#ORDRE DE PASSAGE

Voici l'ordre de passage des questions au gouvernement, communiqué par l'Assemblée nationale : 

#POINT FICHE

Quand il répond à la question de Yann Galut sur les baisses d’impôts annoncées par le gouvernement, Manuel Valls veut être sûr de ne pas se tromper. Le Premier ministre ne quitte donc pas sa fiche. "Il faut être précis", répète le locataire de Matignon, énumérant les différentes réductions qui toucheront les ménages les plus modestes. 



Une réponse que commente ironiquement Rudy Salles - l'homme toujours dans les pas de Christian Estrosi

#ALSTOM

Attaque en règle de Jérôme Chartier contre le ministre de l’Économie Arnaud Montebourg :

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Pourquoi vous obstinez vous depuis longtemps à déclarer la guerre au monde entier ?

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Le député UMP du Val d’Oise énumère la position du socialiste durant la primaire PS, en 2011, au cours de laquelle il s’était fait le chantre de la démondialisation. Sa démonstration aboutit au "décret Alstom", présenté ainsi par Jérôme Chartier : "Ce décret, c’est votre défaite."

Réponse d’Arnaud Montebourg :

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Les nations ont encore le droit de vivre.

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Une réponse qui entraîne de forts applaudissements à gauche. 



#LES FRANCAIS NE SONT PAS DUPES

Gilles Lurton revient sur les promesses de baisse d’impôts qui, selon le député UMP d'Ille-et-Vilaine, seront financées par les classes moyennes :

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Au final, ce seront 7 milliards d’euros qui frapperont de plein fouet les classes moyennes ? […] Où est la pause fiscale ?

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"Les Français ne sont pas dupes", avance Gilles Lurton, qui ajoute que ces mesures servent, selon lui à "amadouer la majorité". 

#BELLE GRAPPE

Les #QAG, c'est aussi l'occasion pour les députés de passer à la télévision. Alors, quand un parlementaire interroge le gouvernement, ses collègues se pressent autour de lui. Exemple lors de la question de Dominique Tian : 



#JEAN-MARC S'EN VA

L'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault quitte l'hémicycle avant la fin des questions au gouvernement. Il croise alors Jean-Marc Germain , monsieur Anne Hidalgo à la ville et proche de Martine Aubry, et surtout l’un des leaders de la "fronde" des députés PS contre les orientations du gouvernement.



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