DANS LE DOUTE, REBOOT – Le vote pour la présidence de l'UMP, lancé vendredi 28 novembre à 20h, connaît quelques bugs. Sur France Info samedi 29 novembre, le secrétaire général de l'UMP Luc Chatel a reconnu que le scrutin avait fait l'objet de cyber-attaques. il a décidé de porter plainte.
Les mesures prises par l'UMP pour se protéger des hackers ont entraîné des petits problèmes au cours du vote.
La Haute Autorité de l'Union a donc écrit aux comités départementaux pour les informer de ces problèmes – enfin surtout pour dire que ces problèmes n'en étaient pas en fait - et que le vote pouvait se dérouler normalement. Voici ce qu'on peut lire :
"Des dispositifs ont été déployés afin de garantir que les adhérents continuent de voter en toute sécurité. Ces dispositifs sont efficaces ; toutefois ils sont susceptibles de générer un message 'vote impossible' après la validation du vote. La question est en cours de résolution. Ce message ne change rien au vote qui est correctement validé.
"
Tout va donc bien, à tel point que la mobilisation des adhérents est forte. Samedi 29 novembre à la mi-journée, ils étaient déjà plus de 100.000 à avoir voté pour désigner le successeur de Jean-François Copé. Selon BFMTV, la barre des 125.000 votants a été franchie peu après 14h30.
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