Valérie Trierweiler a trouvé sa plus virulente supportrice en la personne de ... Geneviève de Fontenay. Invitée du Grand direct des médias ce 13 janvier sur Europe 1, l'ancienne présidente du Comité Miss France a quelque peu oublié la présentation de sa toute nouvelle "Miss Prestige" pour demander la démission de François Hollande.
La dame au chapeau se dit "outrée", "révoltée" ou encore "consternée" par la façon dont est traitée Valérie Trierweiler, depuis la publication dans Closer d'un article sur la relation supposée entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet. La première dame est ce lundi toujours hospitalisée à cause du "choc émotionnel" subi.
Geneviève de Fontenay s'emporte dès son arrivée en studio :
J’ai une exclusivité pour toi : je demande la démission du président de la République. Je suis dans une colère … révoltée !
Je suis révoltée de la manière dont est traitée cette femme, qui est répudiée comme un objet consommable et jetable. Enfin, c’est la première dame de France, il pourrait avoir du respect pour elle ! De la considération … mais elle est jetée comme ça ! (...)
Elle est là ... allez dégage maintenant !
Voici la vidéo de son intervention :
Celle qui estime qu'il n'y a plus de vie privée lorsqu'on est un personnage public comme le chef de l'Etat, pense "qu'on ne fait pas ce qu'on veut quand on a un mandat comme le président de la République" et répète :
Il n'a plus sa place. Qu'il aille s'amuser avec ses compagnes, mais il n'est plus digne de diriger la France avec un comportement comme ça !
Et l'ancienne présidente des Miss France sur TF1 de faire un rapprochement avec ... l'éviction de Delphine Batho du gouvernement en juillet 2013 :
Quand ils ont dégagé Delphine Batho aussi, vous croyez qu’ils l’ont fait avec ménagement ? Allez, dégage aussi !
J’ai voté pour Hollande, je ne veux plus entrer parler des socialistes ! Ils sont tous à mettre dans le même panier, j’en veux plus.
Geneviève de Fontenay n'en est pas à son premier emportement contre François Hollande. En juillet 2013 dans La Voix du Nord, elle se disait déjà "dégoutée, excédée, en colère" :
C’est un bordel aussi bien à gauche qu’à droite. J’ai voté Hollande mais je suis catastrophée par sa politique.