Présidence de l’UMP : la commission de révision des statuts ne veut plus des procurations

Publié à 06h27, le 19 février 2013 , Modifié à 06h27, le 19 février 2013

Présidence de l’UMP : la commission de révision des statuts ne veut plus des procurations
François Fillon et Jean-François Copé. (Photos Reuters)

Objets de critiques, les procurations ne seront pas acceptées pour le nouveau scrutin pour la présidence de l’UMP. D’après le Parisien de mardi 19 février, la commission de révision des statuts, qui planche sur les nouvelles règles censées régir le scrutin de septembre prochain, a décidé de "ne plus autoriser les procurations". Si nouvelle élection il y a.

Au cœur "du psychodrame" de l'automne, comme l’écrit le Parisien, les procurations avaient fait l’objet de critiques, tant de la part de l’équipe de Jean-François Copé, que de celle de François Fillon.

Dans le livre, La guerre des deux droites, dont le Lab avait publié les bonnes feuilles, l’accent est porté sur les 30 000 procurations  données, "(parfois vierge) à l’organisateur, c'est-à-dire aux amis de M. Copé".

 

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