COMIQUE DE SITUATION - Valérie Trierweiler a le sourire. Surtout quand elle téléphone devant les journalistes à un mystérieux "président", qu'elle "embrasse". Avant de préciser, hilare, que le destinataire de ses baisers est le président du Secours populaire, dont elle est la marraine.
Le contexte :
Valérie Trierweiler, Carla Bruni-Sarkozy, Claude Chirac et Nathalie Kosciusko-Morizet ont rejoint de nombreuses actrices, ce mardi 17 mai, sur le parvis des Droits de l'Homme du Trocadéro, pour demander la libération des 276 lycéennes enlevées au Nigeria par les islamistes de Boko Haram.
À la fin du rassemblement, un homme fend le mur de photographes pour tendre un téléphone portable à Valérie Trierweiler. "C'est Julien", annonce-t-il.
"Bonjour mon Président, comment ça va ? ", lance la journaliste de Paris Match en saisissant l'appareil. "Non, je ne l'ai pas encore eu, c'est au fond de mon sac", poursuit-elle, en parlant de son propre téléphone.
Valérie Trierweiler écoute silencieusement pendant une petite minute, au milieu de l'attroupement de badauds et journalistes qu'elle provoque, puis conclut la conversation :
D'accord, je transmets tout ça. A bientôt mon président, je vous embrasse.
La suite est à regarder ci-dessous :
"Je précise, c'était le président du Secours populaire"", Julien Lauprêtre, ajoute immédiatement Valérie Trierweiler, amusée, au micro de BFMTV.
Un sommet sur la sécurité en Afrique se tiendra à Paris, ce samedi 17 mai. François Hollande réunissant des représentants du Nigeria, du Tchad, du Cameroun, du Niger et du Bénin. Valérie Trierweiler "pense" que le chef de l'État "verra les images [du Trocadéro], ce soir, en rentrant, il est dans le Caucase là". Un nouveau message.
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