Alain Vidalies regrette que François Hollande n’ait pas pensé à lui pour le poste de Défenseur des droits

Publié à 13h46, le 19 août 2014 , Modifié à 06h51, le 20 août 2014

Alain Vidalies regrette que François Hollande n’ait pas pensé à lui pour le poste de Défenseur des droits
François Hollande et Alain Vidalies © REUTERS/Philippe Wojazer

ET MOI ALORS ? - Le choix de Jacques Toubon au poste de Défenseur des droits avait créé quelques remous à gauche. C‘est ballot, car un autre choix, beaucoup moins sujet à polémique, aurait pu se présenter à François Hollande.

C’est que nous apprend L’Opinion, ce mardi 19 août. Alain Vidalies, ancien ministre délégué aux Relations avec le Parlement, éjecté du gouvernement en avril dernier, était intéressé par ce poste. Il l’explique, sans détours, au quotidien. Voilà ce qu’écrit L’Opinion :

Le poste de Défenseur des droits, attribué à Jacques Toubon, lui aurait 'beaucoup plu', avoue-t-il. Le président, cependant, n’a pas songé à le lui proposer.  

En revanche, François Hollande a bien pensé à son ancien ministre pour un autre poste, celui d’ambassadeur de la France au Bureau International du Travail (BIT), à Genève. Cette mission-là, Alain Vidalies n’y avait pas du tout songé. Pas grave : il l’a quand même accepté et prendra ses fonctions le 1er janvier 2015.

Quant au poste de Défenseur des droits, il est revenu, comme prévu, à Jacques Toubon

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