Depuis New York, François Hollande a confirmé, mercredi 24 septembre, l’assassinat de l'otage français Hervé Gourdel par le groupe djihadiste Jund al-Khilafa. Le chef de l'État a estimé que le Français a été "assassiné lâchement, cruellement, honteusement". Le président a ajouté que les assassins "devront être châtiés", estimant que "cette agression contribue à renforcer" sa détermination :
Nous continuerons à combattre le terrorisme partout et notamment contre le groupe qu'on appelle Daesh.
François Hollande a évoqué Hervé Gourdel.
Je veux rappeler des choses simples et fortes : Hervé Gourdel est mort parce qu'il était français, parce que son pays, la France, combat le terrorisme. Hervé Gourdel est mort parce qu'il est le représentant d'un peuple, le nôtre, qui est épris de liberté et qui défend la dignité humaine contre la barbarie.
Face à ces terroristes qui souhaitent "effrayer", François Hollande a rappelé que "dans cette épreuve, l'unité est la meilleure réponse".
Un conseil de défense sera réuni dès jeudi 25 septembre.