Les politiques réagissent à l'assassinat de l'otage Hervé Gourdel

Publié à 06h58, le 25 septembre 2014 , Modifié à 07h46, le 25 septembre 2014

Les politiques réagissent à l'assassinat de l'otage Hervé Gourdel
Lors d'une manifestation de soutien à Hervé Gourdel le 23 septembre, avant sa mort. © Maxppp / Jean-François Ottonello.

L'otage français Hervé Gourdel a été décapité le 24 septembre, après un ultimatum de 24 heures. Ses ravisseurs, des membres du groupe djihadiste algérien Jund al-Khilafa, soutien de Daesh, exigeaient l'arrêt des frappes aériennes françaises en Irak contre le terrorisme. François Hollande a déclaré que Hervé Gourdel avait été "assassiné lâchement, cruellement, honteusement" uniquement "parce qu'il était Français" et que ses assassins devraient être "châtiés". D'autres personnalités politiques ont réagi.

Manuel Valls assure que la France "ne cèdera jamais" dans un tweet signé, chose rare, de ses initiales :

Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll en fait de même :

"La détermination est la seule réponse", ajoute le commissaire européen Pierre Moscovici :

Ex-ministre redevenu député, François Lamy veut "rappeler que ce n'est pas l'islam" :

Tout comme le député UDI Yannick Favennec :

L'eurodéputée Nadine Morano appelle quant à elle "les musulmans à entrer en guerre contre les islamistes terroristes" :

Le député socialiste Jean-Louis Gagnaire propose une mise en berne des drapeaux français en hommage à la victime :

Chose déjà faite dans la ville de Benoist Apparu :

Rama Yade, ancienne ministre des Droits de l'Homme, évoque "la détresse de l'homme qui sait qu'il va mourir" :

L'ex-ministre déléguée aux Personnes âgées, Michèle Delaunay, pense elle aussi à cette souffrance :

Ancienne ministre des Français de l'étranger, Hélène Conway-Mouret se dit "bouleversée et indignée" avant de prodiguer des conseils aux Français voyageurs :

Article édité au fur et à mesure des réactions.

Du rab sur le Lab

PlusPlus