HISTOIRE - Dans son discours prononcé devant le Parlement algérien, ce jeudi 20 décembre, François Hollande a revisité les relations entre la France et l'Algérie.
Sans formuler d'excuses, ni adopter une posture de repentance, le chef de l'Etat, applaudi par les parlementaires algériens, a reconnu que "l’Algérie a été soumise à un système profondément injuste et brutal".
"Je reconnais les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien", a encore énoncé le chef de l'Etat, expliquant que, "parmi ces souffrances, il y a eu des massacres".
François Hollande a encore appelé au "respect de la mémoire, de toutes les mémoires".
Dans le parterre, parmi les personnalités, et selon les plans de coupe diffusés lors de la retransmission en direct, on retrouve Valérie Trierweiler, la compagne du chef de l'Etat, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, ou Jean-Pierre Raffarin, sénateur UMP :
