Ce mercredi matin, on apprend dans Le Parisien que Nicolas Sarkozy "adore" Borat, la comédie délirante de Sacha Baron-Cohen sur ce journaliste kazakh parti découvrir le rêve américain...
Le Lab a donc voulu savoir si la réciproque était vraie : Borat adore-t-il Nicolas Sarkozy ? On a cherché et trouvé quelques preuves d'amour, vache parfois.
Borat, le film culte de Sarkozy
Sur leparisien.fr
Pour ceux qui auraient pu passer à côté, Borat, c'est ce vrai-faux reporter kazakh, obsédé par l’idée d’épouser Pamela Anderson.
Voici la bande-annonce de ce film "extraordinaire" selon Nicolas Sarkozy, dont le titre complet est : "Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan".
Quand Borat porte un slip Sarko...
Sur archives-lepost.huffingtonpost.fr
Sarkozy aime Borat ? Borat le lui rend bien ! Invité sur le plateau du Grand journal de Canal en juin 2009 pour assurer la promo du film Brüno, Sacha Baron Cohen avait fièrement exhibé son slipà l'effigie de Nicolas Sarkozy.
Sacha Baron Cohen en remet une couche
Sur youtube.com
Lors de la promotion du film Brünoà Paris, Sacha Baron Cohen se moque du Président.
J'ai invité (à la première) plein de célébrités, dont Mick Jagger, Eric Clapton...et encore beaucoup d'autres ex de Carla Bruni. J'espérais que Nicolas Sarkozy viendrait lui-même ce soir (...) Je lui avais même préparé une chaise haute dans la salle de cinéma
Avec son faux accent allemand, l'acteur britannique poursuit : Carla Bruni "est trop grande pour lui (...) Ils devraient échanger leurs chaussures : lui devrait porter des talons, elle des chaussures plates".
Borat ou Nazarbaïev, il faut choisir ?
Sur elysee.fr
Comme le signale, par sa contribution, Cornelius Nova, la nouvelle passion de Sarkozy pour Borat "devrait être assez peu appréciée par son 'ami' Noursoultan...".
Noursoultan Nazarbeïev, le président du Kazakhstan ci-dessus en conférence avec Nicolas Sarkozy n'est effectivement pas friand de l'humour de Sacha Baron Cohen, surtout quand il s'agit de son pays.
Au point qu'il avait demandé lors de sa visite à la Maison Blanche en septembre 2006 d'évoquer le "problème Borat". Le film n'a cependant pas été interdit de diffusion dans le pays.