Ce que Nathalie Kosciusko-Morizet veut faire des stations de métro fantômes à Paris

Publié à 17h26, le 17 août 2013 , Modifié à 17h31, le 17 août 2013

Ce que Nathalie Kosciusko-Morizet veut faire des stations de métro fantômes à Paris
NKM. (Maxppp - Thomas Padilla)

Les municipales approchent à grand pas. Et l’heure est de plus en plus à la définition des programmes électoraux des candidats. L’occasion de lancer des idées sous forme de ballon d’essai dans la presse.

Candidate élue de l’UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet avait déjà testé l’une de ses idées, Landolib, révélée en mars par le Pointavant d’être écartée par la principale intéressée.

Ce samedi 17 août, c’est dans une interview aux pages Paris du Parisien que l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy aborde un nouvel élément programmatique : "sa proposition choc" concernant les stations de métro parisiennes fantômes. Des sites qu’elle dit vouloir "magnifier".

Précisant qu’il y a, "selon les experts", sept stations sur onze qui seraient aménageables, Nathalie Kosciusko-Morizet envisage trois pistes de réhabilitation pour ces stations de métro désaffectées :

>> La piste sportive

La première hypothèse évoquée par la candidate UMP à la maire de Paris est la piste sportive. Ainsi développe-t-elle, dans le Parisien :

Ces stations pourraient tout à fait abriter des entrainements d’escrime, des murs d’escalade ou des cours d’arts martiaux.

>> La piste culturelle

Ensuite, NKM y voit également l’opportunité de créer de nouveaux emplacements culturels sans toutefois livrer trop de précisions :

J’imagine une fonction culturelle, avec des espaces de création dédiés aux artistes.

>> La piste conviviale

Enfin, la dernière piste de réflexion évoquée dans l’interview concerne "les lieux de convivialité" :

Des restaurants branchés et surtout des boîtes de nuit.

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